Pacte vert européen oblige, les enveloppes allouées aux concours de la capitale verte 2023 et des feuilles vertes 2022, qui récompensent des villes « véritablement déterminées à devenir plus durables », ont été revues à la hausse cette année.
Après Grande-Synthe, Montpellier, Lille, Niort, Strasbourg et Rennes, Muttersholtz (Bas-Rhin) devient la nouvelle capitale française de la biodiversité. Une fois n'est pas coutume, le jury distingue un petit village de 2.000 habitants, "territoire reconnu d'innovation" du centre Alsace administré par un "maire engagé" qui a fait de la biodiversité, avec...
La ville de Rennes a été élue Capitale française de la Biodiversité 2016 pour la gestion écologique de ses espaces verts et publics et la prise en compte des continuités écologiques dans ses documents d’urbanisme.
Du 26 au 28 septembre, quelques semaines avant la COP22 de Marrakech, le centre des congrès de Nantes accueillera le premier sommet mondial des acteurs non-étatiques engagés dans des actions climatiques.
Jean-François Carenco, préfet de la région d’Île-de-France, préfet de Paris, et Bruno Arbouet, directeur général de l’Union des entreprises et des salariés pour le logement (UESL) - ActionLogement, ont signé une convention triennale afin d'améliorer le relogement des ménages reconnus prioritaires au titre du DALO ou sortant d’un logement temporaire.
L'appel à projets pour le concours « Capitale française de la biodiversité » est lancé. Il récompensera cette année les collectivités exemplaires en matière de gestion des sols.
La COP 21 est maintenue mais de nombreux événements qui devaient se tenir cette semaine dans la capitale ont été annulés suite aux événements de vendredi soir. Comme les organisateurs de ces colloques ou salons, les rédactions d'Environnement-magazine.fr adressent leur condoléances aux familles et aux proches des victimes des attentats.
La liste provisoire des nouvelles capitales régionales est désormais connue. Conséquence de ce redécoupage : certains services déconcentrés de l’État vont être réorganisés, avec, assure le Premier Ministre, le souci de préserver l’emploi public.
Ce collectif des "capitales en sursis" s'est réuni pour la première fois mardi matin à l'Assemblée nationale, à l'initiative des associations Villes de France et de l'Association des maires des grandes villes de France (AMGVF).
