Cette démarche de publication d’un Eco-guide version numérique, totalement éco-responsable, s’inscrit en collaboration étroite avec le Groupe Caisse des Dépôts, partenaire majeur de l’Association des Maires ruraux de France. Partenaire historique des acteurs locaux, le groupe Caisse des Dépôts est pleinement engagé en faveur de la transition écologique et énergétique des territoires. De multiples solutions de financements en prêts et en investissement sont proposées aux collectivités territoriales de toute taille, comme par exemple, les prêts à taux zéro destinés à la réhabilitation thermique des bâtiments publics, les prêts au secteur public local qui peuvent notamment servir à financer les infrastructures de transport, la rénovation des réseaux d’eau et d’assainissement, la production d’énergie renouvelable, etc.
Technique mais ausssi très pratique
L’ambition de cet Ecoguide est de donner des éléments simples et concrets, des références sur une logique d’échanges entre maires, entre les précurseurs, les volontaires sans oublier les sceptiques et les démunis… Avec une approche pédagogique et pratique. Les lecteurs y trouveront de nombreux exemples de réalisations : des bâtiments et des équipements collectifs plus performants et des chantiers plus responsables, la production d’énergies renouvelables, limitation de la production de déchets; garantie de la qualité de l’eau et limitation des consommations, mobilité durable… “Les maires ruraux intègrent le souci de l’environnement parce qu’ils en connaissent la valeur et la place particulière dans les équilibres nécessaires à notre société. Mais la prise de conscience n’exonère pas de la connaissance technique et les élus doivent pouvoir agir en connaissance de cause. Pour y voir clair dans la multitude des propositions et discerner ce qui est véritablement utile de ce qui relève d’un phénomène de mode, l’élu a besoin de repères, d’autant que l’abondance des normes, les pressions médiatiques et politiques sur ces questions sont parfois de nature à brouiller les cartes”, conclut l’AMRF