Le Conseil constitutionnel, saisi d’une question prioritaire de constitutionnalité, a mis en délibéré sa décision sur la “liberté de conscience” des maires qui ne souhaitent pas célébrer de mariage homosexuel. L’audience a commencé peu après 09H00 et n’a duré qu’une demi-heure, devant une salle pleine.
Il faudra donc attendre le 18 octobre, date à laquelle les sages diront si l’absence de disposition garantissant la conscience des maires opposés au mariage pour tous est conforme, ou non, à la constitution.