Ce concours lancé en 2011 invite les élus des collectivités ultra-marines à faire connaître leurs projets, actions et politiques exemplaires de préservation et de gestion durable des récifs coralliens et des écosystèmes associés (herbiers et mangroves).
Les maires, membres élus des conseils généraux, régionaux et territoriaux, assemblées provinciales et territoriales des collectivités de l’outre-mer français abritant ces écosystèmes en danger (Martinique, Guadeloupe, Réunion, Mayotte, Nouvelle-Calédonie, Wallis et Futuna, Polynésie Française, Saint-Martin et Saint-Barthélemy) sont donc invités à présenter leur candidature avant le 25 octobre.
L’Ifrecor profite du lancement de cette édition 2015 pour « tirer le signal d’alarme », comme elle le fait régulièrement. Mais choisit cette fois l’angle économique : « de nombreuses études récentes démontrent qu’au-delà de leur contribution à la richesse de la biodiversité marine, les récifs coralliens, les herbiers et les mangroves sont une source importante de revenus économiques pour les territoires », explique un communiqué de l’Initiative qui prévoit de publier à la fin de l’année une « consolidation nationale » de cette valeur totale.
Les Palmes seront remises le 16 novembre 2015 au cours d’une cérémonie organisée au ministère des Outre-Mer.