La ville durable, telle que définie aujourd’hui, s’efforce de limiter ses impacts sur l’environnement mais ne les supprime pas. Cette logique de réduction des impacts n’est pas compatible avec une urbanisation en constante accélération. Il faut aller plus loin, être plus ambitieux.
C’est pourquoi, la ville positive part du principe qu’elle répare son environnement grâce à sa performance écologique. La conférence présentera à la fois des solutions concrètes pour construire la ville positive aujourd’hui mais aussi des solutions de ruptures, innovantes, encore en recherche, et qui pourraient définir la ville positive de demain.
Concrètement, que peut-on faire aujourd’hui et que pourra-t-on faire demain ?
– Comment réduire la consommation d’énergie de la ville positive ?
– Quelle énergie produire pour la ville positive ?
Comment compenser la consommation ?
– Quel type de traitement des déchets pour la ville positive ?
– Quelle place pour le traitement et la valorisation sur site ?
– Quel traitement de l’eau pour la ville positive ? Les bâtiments de la ville positive traitent-ils eux-mêmes leurs eaux ?
– Quelle mobilité dans la ville positive ? – Quelle place pour l’agriculture dans la ville positive ? – Comment généraliser la ville positive ? Qu’est-il nécessaire de faire pour que la ville positive ne soit pas uniquement une initiative isolée ? – Comment financer la ville positive ? Quels liens entre le secteur public et le secteur privé ?
Tant de questions auxquelles industriels, chefs d’entreprises, ONG, financiers répondront le 22 mars. Les intervenants donneront des exemples de solutions et de business modèles concrets, réels ainsi que des solutions de ruptures permettant dans la lignée de l’Economie Positive la restauration de notre planète.