Les micro-partis, qui permettent de collecter des fonds en sus des partis traditionnels, sont dans le viseur des députés qui ont adopté mercredi plusieurs amendements écologistes pour les encadrer et “limiter leur vitalité”, selon un spécialiste des comptes publics.
Parlant d'”avancées significatives”, les coprésidents du groupe écologiste à l’Assemblée nationale Barbara Pompili et François de Rugy ont affirmé dans un communiqué que “leurs amendements répondent à des situations dénoncées de longue date par de nombreux organismes officiels et par les associations de lutte contre la corruption et pour la transparence”.
Ces mesures ont été adoptées dans le cadre du projet de loi sur la transparence de la vie politique qui sera débattu dans l’hémicycle à partir du 17 juin. (Source AFP)