« Nous souhaitons mettre en avant les bons élèves, les entreprises qui font un vrai effort en faveur du développement durable », explique ce mercredi 1er février Philippe Augier, le maire de Deauville, à l’occasion du lancement parisien de ces Deauville Green Awards. « La communication corporate est mal perçue, pénalisée par le greenwashing », ajoute Jean-Charles Pentecouteau, président du festival.
Sans doute pour ne pas faire de jaloux, le jury décernera des Astérias (étoile de mer) d’or et d’argent dans vingt-deux catégories allant des énergies renouvelables aux engagements sociétaux ainsi que quatre grands prix et quatre prix spéciaux. Les entreprises, mais aussi les institutions, les collectivités ou les ONG, peuvent inscrire leurs productions en ligne (films corporate, programmes web ou télévisuels, cartes de visites publicitaires ou programmes de formation) jusqu’au 15 février (299 euros) ou le 1er mars (418 euros).
« Le jury qui accueille notamment des communicants du WWF, de l’Ademe ou des ministères de l’Écologie et de la Santé jugeront ces œuvres à l’aune de cinq critères : la réalisation, l’image, le son, la pertinence de l’information et l’efficacité du message », précise le délégué général Georges Pessis.
Des conférences sur la dématérialisation des contenus audiovisuels ou la réduction de l’impact carbone des productions seront par ailleurs organisées.