La première tranche de 7 ou 8 ha de cette Plateforme Technologique Atlantique sera consacrée à la réhabilitation thermique des bâtiments. « Nous aspirons à en faire un centre de compétence européen sur la réhabilitation bas carbone », explique Isabelle Lecomte, vice-présidente en charge du développement économique.
Celui-ci regroupera quatre bâtiments dont une « plateforme de l’innovation », aujourd’hui hangar de 3 600 m² qui devrait être réhabilité avec un objectif énergétique de 25 kWh/m²/an.
Les deuxièmes et troisièmes tranches de ce projet de 20 millions d’euros, notamment soutenu par l’État dans le cadre d’un contrat de redynamisation de site de défense (CRSD), pourrait être respectivement consacrées à l’écomobilité et aux énergies marines renouvelables.