L’association “Pour une démocratie directe” a demandé à la justice d’enquêter sur “l’enrichissement personnel” de certains parlementaires, notamment grâce à leur indemnité pour frais et à des prêts de leur assemblée. Selon l’enquête de l’association, “Les fausses mesures répressives prises dernièrement par les assemblées parlementaires ne freinent en rien les dérives en cours et apparaissent aujourd’hui comme des mesurettes servant plus à calmer l’opinion publique qu’à répondre aux critiques récurrentes sur le manque d’éthique et de transparence au sujet de la dépense publique.”