“Après l’horreur de la violence, le temps des mots. Le 15 février, des membres d’associations de victimes ont livré aux députés des témoignages poignants qui révèlent les nombreux ratés de l’Etat dans la gestion et la prise en charge de ce drame qui a fait 130 morts, des centaines de blessés et des milliers de traumatisés.”