Les projets, à faire connaître avant le 30 septembre, devront accroître le pouvoir d’achat des habitants en réduisant les charges et renforcer l’attractivité des quartiers. « Les solutions traitant de manière intégrée de la rénovation du bâti, de la gestion des flux, de l’énergie et de la mobilité en tenant compte de l’évolution des usages seront privilégiées », note le cahier des charges.
L’AMI dispose d’une enveloppe de 71 millions d’euros pour accompagner les lauréats, de l’ingénierie à la mise en œuvre. « Le renouvellement urbain ne doit en aucun cas se cantonner à transformer les quartiers prioritaires en des quartiers ordinaires », a expliqué Patrick Kanner, ministre de la Ville, qui est allé signé, fin avril à Rennes, le premier protocole de préfiguration du NPNRU. « La ville étudie cet AMI mais n’a encore rien décidé », indique-t-on dans la cité bretonne.